Anne F.

Hafid Aggoune, par Brigitte Lo Cicero


« Les morts ne sont jamais absents, seuls les vivants nous manquent. »
(p. 74)

« Longtemps, je n’ai pas su comment il fallait vivre, ayant grandi comme un animal apeuré, tremblant. L’instinct m’a poussé au mutisme, à l’observation, à l’écoute avant l’expression, avant l’affirmation, avant l’acte même d’amour qui est venu très tardivement dans ma vie. »
(p. 75)

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